Les métiers d’avocat peuvent être généraux ou spéciaux. En France, ceux-ci sont assumés par un auxiliaire de justice qui est légalement investi du pouvoir d’assister, de conseiller, de représenter la partie (défenderesse ou demanderesse) ou le client en justice et pour plaider en sa faveur. Cette profession commence à être très appréciée par différents juristes. Il faut toutefois mieux les comprendre pour les raisons suivantes.
Les différentes spécialisations du métier d’avocat
Généralement, le métier d’avocat est réparti en 2 catégories bien distinctes : un avocat généraliste et un avocat spécialiste. Cette classification varie suivant la législation de chaque pays. En France, par exemple, les 4 premières années d’expérience en justice et en droit obligent tout avocat débutant de pratiquer toute activité juridique sans distinction, une fois avoir dépassé les 4 années en question dans la branche qu’il soit se spécialiser et doit soumettre à un examen pour bénéficier de 3 mentions de spécialisation au maximum.
Toutefois, il existe plus d’une quinzaine de spécialisations disponibles dans le métier d’avocat. Vous pouvez y trouver l’avocat en droit des assurances, l’avocat commercial, l’avocat en droit communautaire, l’avocat environnementaliste, l’avocat fiscaliste, l’avocat en l’immobilier, l’avocat spécialisé aux mesures d’exécution des peines, l’avocat pénaliste, l’avocat en droit des personnes, l’avocat droit privé, l’avocat en droit de la propriété intellectuelle, l’avocat publiciste, l’avocat en droit des relations internationales, l’avocat en droit rural, l’avocat en droit social, avocat en droit du travail, l’avocat en droit des sociétés, etc.
Conseil pour devenir avocat
Théoriquement, il faut remplir un bon cv académique (master en droit au minimum) et professionnel. Dans la pratique, il faut passer et réussir à un examen national pour pouvoir bénéficier ou suivre d’une meilleure formation (incluant des cours, stages en cabinet d’avocat, et projet professionnel) pendant une durée de 18 mois au minimum. Généralement, le juriste sera sanctionné par un certificat d’aptitude à la profession d’avocat, inscrit dans l’ordre des avocats et devra prêter serment, lors d’une cérémonie officielle, avant d’effectuer sa mission. En France, l’examen théorique aux écoles d’avocat n’est pas soumis à des limites d’âge. Toutefois, les candidats sont soumis au secret professionnel à travers le recours à un petit serment effectué devant la CA et doivent s’inscrire au barreau…
Les avantages de comprendre le métier d’avocat
Comprendre le métier d’avocat permet de distinguer leurs missions basiques. Ensuite, cela permet de bien distinguer les différents types d’avocat (généraliste ou spécialiste) et les différentes spécialisations (administratif, affaire, bancaire, bien mobilier et immobilier, civil, commercial, concurrence, consommation, constitutionnelle, contrat, correctionnel, corruption, cybercriminalité, économique, environnement, financier, fiscalité, foncier, international, marché public, militaire, obligation, personne, propriété intellectuelle, privée, publique, sociale, travail, urbanisme, etc.). Puis, vous pouvez comprendre les avantages (liberté de choix, largeur de choix de carrière, la possibilité d’agir en tant que procureur, l’hétérogénéité des cas pratiques a soutenir en justice, etc.) et risques professionnels à faire face. Aussi, vous serez en mesure de comprendre l’intérêt de la distinction entre les différents types d’avocat (pénaliste, fiscaliste, environnementaliste, immobilier, des personnes, commercial, des sociétés, des assurances, rurales, des relations internationales, privatiste, publiciste, social, etc.).
Comprendre les bases du métier d’avocat
Déjà, un avocat travaille de manière libérale, tout comme le médecin ou l’enseignant, et sera soumis à une obligation de confidentialité, de partialité, de moyen pour réussir dans leur mission. Ensuite, en général, l’avocat est le juriste légalement investi du pouvoir de conseiller ou représenter ou assister ou défendre ses clients en justice en faisant valoir ses droits et obligations. La représentation d’un avocat, pour une affaire en justice, consiste en un mandat consenti par le justiciable, en la possibilité de faire à lui seul tous les actes juridiques nécessaires et utiles à la procédure. Celle-ci peut être facultative ou obligatoire en fonction de la nature de la procédure (écrite ou orale) ou de la gravité de l’affaire ou de la nature de l’objet du procès. L’assistance d’un avocat peut être gratuite, d’office, ou payante suivant la capacité de revenu de son client ou suivant le sujet du mandatement (personnes publiques ou personnes privées). Celle-ci constitue un droit fondamental de tout justiciable. Puis, son activité professionnelle se repartit en 2 branches : profession indépendante et profession partagée avec d’autres branches. La première consiste en la défense du droit (plaidoirie ou postulation) de son client au procès ou en toute instance disciplinaire. En revanche, la profession partagée consiste en un partage de la délivrance de conseil ou consultation, en partage de rédaction de contrat ou de passer des actes juridiques (authentiques, authentifies ou sous seing privé), en un partage de fonction extra juridique (cas de la médiation, connaissance sur la psychologie des litiges, de la rhétorique pour la conduite d’un MARL…). Aussi, leur métier doit être conforme aux lois, justifié par les lois et devra faire une veille systématique et régulière législative et réglementaire pour la légalité de leur profession.